« Publier un livre c’est procéder à un lâcher de vampires. Car un livre est un oiseau sec, exsangue, avide de chaleur humaine, et lorsqu’il s’envole, c’est à la recherche d’un lecteur,
être de chair et de sang, sur lequel il pourra se poser afin de se gonfler de sa vie et de ses rêves. Ainsi le livre devient ce qu’il a vocation d’être : une oeuvre vivante. »
Michel Tournier, Le Vol du vampire, 1981
Le Vampire Actif est une maison d’édition associative, à compte d’éditeur, née en 2007 de la rencontre de passionnés de littérature, fervents défenseurs des textes et du livre.
à paraître
La Vieille au buisson de rose, Lionel Édouard Martin
Valeur de l’ombre, Anne Jeanson
Contes du pays d’Ouest, Gustave Geffroy
Pétrus Borel, Escales à Lycanthropolis », réédition actualisée et augmentée
nouveautés
Ferpent, soleil par terre
Lionel Édouard MARTIN
Parution mi-novembre 2025
Comme il en a coutume, Albert, un très vieil homme, est assis sur la terrasse, à l’étage de la maison de ses enfants qui désormais l’hébergent. Il regarde passer les voitures au-delà de la haie de troènes, remâche ses souvenirs, prête l’oreille aux bruits de la demeure – à ceux surtout provenant du sous-sol. À sa voix intérieure se mêlent celles de ses proches, développant l’histoire de gens de peu où s’agrègent les thèmes, de la mémoire, du désir, de l’héritage familial, et du deuil…
(Extrait, chapitre -12- de l’ouvrage)
« …Ils étaient tout un groupe de Piémontais, des jeunes, ça remonte aux années 1925.
Pourquoi, comment, sont arrivés jusqu’ici, mystère : mais un jour, ils y furent, cherchant leur pain sur la place, et prêts à faire n’importe quoi, récolter les patates, pousser la brouette sur les chantiers, peinture, pourvu d’avoir chopine et croûte. Un, Médard, qui tirait sur l’accordéon, c’est dire : des gens qui n’avaient pas de demain, courageux, pas des ventres mous. Mais justement : on embauchait à la fonderie : nos gars, même les plus moustachus, les plus forts en gueule, le feu leur faisait peur. Eux autres, ils mitonnaient dans leur pays le charbon de bois, vous avaient avec la braise une familiarité, les brûlures les faisaient rire.
Sont restés, chapeaux de feutre et foulards de coton.
Le jour ils coulaient la fonte ; s’abreuvaient à même de hautes cruches en argile. Ils en prenaient, de l’eau dans leur corps, dame, la chaleur y venait s’emplir comme une vache à la rivière. Foulard rouge, feutre noir : on aurait dit des crépuscules d’été, sortant de l’usine, chacun sur son vélo. Des crépuscules pédalant vers la ville : ils prenaient l’apéritif au Café du Commerce, en face de la sous-préfecture ; attablés devant le quinquina, le Bartissol, le Noilly Prat, ils rendaient du soleil, leur seule présence illuminait la salle…
… Au début, les gens les toisaient de regards de fouines, presque féroces ; les gens : nos bourgeois, nos ouvriers, l’œil à cocarde et morgue pour qui venait d’ailleurs et pauvre – en tout cas pas riche, à part couteau, mouchoir, ils n’avaient pas grand-chose en poche – et leur queue, dame, j’en ai vite eu la preuve.
Il faut comprendre, je ne jette pas la pierre : ces établissements d’étrangers, c’est comme de greffer le cœur d’un autre à un malade, le sang le repousse de toutes ses forces, ça ne coule pas de source, mais ça finit par ne faire qu’une seule même chair quand le sang prend l’habitude.
À la longue, comme le samedi soir l’accordéoniste tirait parfois sur son engin pour la rengaine et qu’ils faisaient, ses camarades et lui, l’effort de causer avec nos mots – s’y mettant d’ailleurs plutôt mieux que bien, gardant aux lèvres juste un petit accent rouleur de « r » qui faisait leur charme, un sourire de langue : tout doucettement, leurs yeux, à nos bonnes gens, se sont faits plus tendres, leur ont creusé les tempes de pattes d’oie rieuses, des rides de déridés.
D’abord, on leur a payé le coup de rouge ; ils chantaient pour remercier, des airs
entraînants, tyroliennes, dès qu’ils ouvraient la bouche c’était la belle lumière. Ensuite la goutte : et ça rechantait plus fort, applaudissait, roucoulait dans leur patois.
On aimait bien. Ne fallut pas longtemps pour qu’on leur déverrouille nos portes et qu’on les invite à nos bals. – À l’époque, le dimanche après-midi, ça guinchait dans les arrière-salles d’hôtels, sur la sciure on glissait la mazurka.
… Rien que d’y repenser, ça me zèbre dans les reins : l’orage, ceux d’alors, pleins de décharges endiablées, ceux d’aujourd’hui n’ont plus rien d’électrique, leurs éclairs ont la queue molle.
Ils étaient droits, les Italiens, la taille bien prise, secs comme des courlis.
C’est là qu’Albert, je l’ai connu, je tenais le bar, je lui servais le vin blanc.
Lui, dans sa bouche, ça n’allait pas trop bien, pas si bien que chez les autres, le français, je le comprenais mal. Sans compter le bruit de l’orchestre et des danseurs : je le faisais répéter, moi-même je hurlais pour me faire entendre. On criait à qui mieux mieux dans le vacarme, le batteur vous cognait enthousiaste sur les cymbales et la caisse claire ; et ceux qui voulaient boire, et demandaient après le demi, le rouge limé, la limonade.
J’essuyais mes verres en le regardant tournicoter.
On se l’arrachait, cet homme, même les demoiselles de bonne famille, carnet de bal, tout leur tralala, résille d’argent, minaudières. Qu’est-ce qu’il avait donc dans le corps pour autant donner ?
Pas seulement sa droiture du jarret jusqu’à la nuque, je crois, mais son côté lumière, bronze au visage, la moustache éméchée par le feu. Et ça dans la bouche, ces paroles empêtrées, qu’on aurait dit qu’il suçait sa barbe, un rayon de soleil, de soleil ou de miel… »
Dans la veine de ses romans précédents, Lionel-Édouard Martin signe, avec Ferpent, soleil par terre, un texte polyphonique, marqué des accents poétiques propres à son écriture dont une bel exemple se trouve dans les 140 courts textes de prose poétique regroupés dans Brueghel en mes domaines.
La créativité suggestive de la langue populaire redonne ici vie à une humanité humble et chaleureuse, à ses travaux et à ses jours, à ses habitudes et à ses rites, dans un village du Poitou des décennies d'après-guerre. Cette langue savoureuse, qui fait penser à celle de Céline ou de Giono, nous laisse entendre parler Les Gens de peu – qu’a célébrés Pierre Sansot -, de leur vie modeste quotidienne mise en valeur par le sens du détail et le relief de la langue pleine d’humanité chaleureuse.
« … Bate ’l fer mentre ch’a l’é càud, n’ont qu’à le battre à ma place, le fer, tant qu’il est chaud : mais ont-ils seulement l’idée de ce que c’est, le fer chaud, tellement pas chaud qu’il en coule, le serpent, rouge, hein, le ferpent fondu ? Battre un sanglard, comme on l’appelle ici, la grosse couleuvre couleur de sang – tape, tape donc, bats donc, tant qu’elle est chaude au bon soleil, mais non, t’aurais bien trop la trouille, hein, devant la bête et puis ça sert à quoi ?… ».
Cette peinture d’une époque à travers ses rituels et ses objets a quelque chose des Mythologies de Roland Barthes et de ces Vies minuscules, pour parler comme Pierre Michon, qui manquent peut-être de spectaculaire et d’élévation mais n’en sont pas moins intéressantes et émouvantes, tantôt prenantes, tantôt pittoresques.
Et puis il y a ce jeu subtile, avec la langue parlée populaire, qui aboutit à un style littéraire efficace comme, exemple parmi d’autres, une tournure du genre : « Je suis tellement pas rapide qu’Usain Bolt, il ne verrait que mon dos ».
Ce texte magnifique compose avec celui de La Vieille au buisson de rose (en réimpression) et de Nativité cinquante et quelques un triptyque inoubliable.
Cet ouvrage sera présenté au Salon L’Autre Livre les 21, 22 et 23 novembre,
à la Mairie du Vème arrondissement à Paris.
À commander dès à présent via le site pour recevoir en avant-première, l’ouvrage et son marque-page spécifique (paiement PayPal sécurisé).
Nuits de feux
Jacques BROCHARD
Parution mi-novembre 2025
(Extrait, premières pages de l’ouvrage)
C’était un promontoire où je venais souvent m’asseoir un peu avant la tombée de la nuit.
Le regard portait sur une île proche que l’on apercevait encore dans la pénombre, et qui les nuits de ciel clair se détachait sur l’horizon. Un soir que je trouvai ma place occupée, je me retins d’avancer plus avant, tant par le soin que je portais à préserver ma solitude et mes rêveries que par crainte de troubler la méditation de cet homme que je voyais assis, la tête dans ses mains en conque, le regard fixé ou perdu vers l’île.
Je l’avais déjà croisé : l’allure un peu dégingandée, il déambulait toujours seul, d’un pas alerte, le corps légèrement penché vers l’avant, les épaules affaissées. J’avais remarqué son visage émacié, sa figure longue aux orbites creuses qu’éclairaient des yeux d’une eau très claire, presque verte. Ainsi m’étaient-ils apparus lors d’une fugitive rencontre lorsqu’ils s’étaient levés un instant vers moi parce que nous allions nous croiser dans un chemin étroit, sans qu’ils aient cependant cherché à me fixer.
Il avait à cet instant chassé d’un revers de main les mèches qui lui encombraient le front, échappées de son abondante chevelure châtain.
À cause de cette présence qui me contrariait un peu, mais respectueux de son recueillement, je fus quelque temps sans revenir à mon endroit préféré, jusqu’à ces soirées de juin où, l’homme n’étant pas réapparu, je m’installai de nouveau sur mon promontoire. J’y fus seul plusieurs soirs de suite et je goûtais ces moments de calme et d’isolement où je ne me lassais pas de contempler la mer, les nuages et cette forme rocheuse, pure de toute construction, qui se présentait comme un cône gigantesque élevé en pente régulière depuis les rochers épars de l’est, pour finir par une falaise plus abrupte tout à l’ouest ; l’île, avec ses deux petits mamelons précédant la tombée brutale dans la mer, me paraissait avoir la forme d’un félin, d’une panthère assoupie, allongée sur le sol, le corps répandu, le mufle carré, les deux oreilles dressées.
Il revint cependant un soir, sans que j’entende son pas avant qu’il ne vienne s’asseoir près de moi. Sur l’île en face s’allumèrent trois foyers dont les flammes échevelées, couchées par le vent de nord-ouest créaient des queues de lumière semblables à celles que font les comètes.
« Un soir, me dit-il, j’ai vécu cet embrasement. Jadis, avant que ne survienne le drame, des feux sur la côte s’allumaient en réponse à ces foyers de la Saint-Jean. Alors, les feux se répondaient de l’île au continent, les flammes s’élevaient car ceux qui les allumaient, les voulaient faire croître et durer plus haut que ceux d’en face.
Mais il n’y a plus de bûchers ici maintenant et ceux qui autrefois dansaient là-bas autour des foyers demeurent enfermés
et n’ont plus de gaieté depuis la nuit de détresse, depuis que s’est ternie la joie. Les quelques flammes que vous voyez ce soir n’ont pu être allumées que par de nouveaux habitants, par des gens qui ignorent ce qui s’est passé là-bas avant que
je m’en aille ».
Il se tut, laissa errer son regard vers l’île. Je pressentais qu’il ne parlerait plus ce soir, que ces mots échappés, prémices d’un récit, resteraient orphelins. Le silence revint et nous restâmes quelque temps sans parler, l’un à côté de l’autre, et par cette communion à la même contemplation, je sentais naître en moi un courant de sympathie vers cet homme qui ne me devenait plus tout à fait étranger.
Puis lorsque les flammes s’assoupirent en face et que la nuit enveloppa l’île, il se tourna vers moi : « Pardonnez-moi d’avoir troublé votre solitude, » dit-il ; il se leva et je le vis s’enfoncer sur le chemin sombre qui s’écartait du village dans la direction des ruines de la vieille chapelle. Je demeurai assis, baigné de souffles tièdes en songeant à cette curieuse rencontre, à ces propos interrompus, à ce jadis, à cette voix un peu sourde et à son étrange façon de s’exprimer donnant l’impression qu’il pesait les mots avant qu’ils ne soient prononcés sur un débit lent, rythmé par des césures et par l’intonation particulière dont il habillait certaines expressions.
Un soir où l’orage menaçait, où l’île en face se couvrait de volutes bleu-noir inquiétantes,
il fut à nouveau là, et vint s’asseoir près de moi.
« Avez-vous déjà vécu un incendie ? je veux dire un violent incendie, celui qui détruit non seulement un bâtiment, une maison, mais par la dimension spirituelle de ce qu’il détruit, s’attaque aussi à votre âme, à vos souvenirs, à votre amour, à tout votre être ? » Puis il se tut et s’en alla.
Je revenais presque quotidiennement contempler la fin du jour depuis mon promontoire.
Un autre soir, alors que la nuit tombait, je le vis à nouveau s’approcher. Nous distinguions à peine nos visages ; l’obscurité ne permettait que d’apercevoir le contour des rochers et des terres en face ; alors, sans qu’il tourne la tête vers moi, je l’entendis murmurer :
« Il y a très longtemps que cela est arrivé et je puis vous le dire maintenant. J’habitais cette île où toutes
les maisons sont bâties sur la face qui nous est cachée. Je m’appelle Jacques Soulié, et j’avais été envoyé comme
instituteur dans ce village désolé il y a longtemps… il y a si longtemps… »
[…]
Nuits de feux est une récit envoûtant et mystérieux, fondé sur les confidences de Jacques Soulié, instituteur jadis exilé dans une île proche de la côte mais pourtant coupée du monde qui, comme les rares habitants, relégués là par
la volonté d’une autorité froide et lointaine, vouent un culte au feu. « Oh feu des grands élans, feu des éclats de lumière,
oh feu des grands enflammements, feu des flammes apaisées qui moutonnent sur des braises mourantes comme des veilleuses, qui font naître mes rêveries conduites par tes dernières lueurs ; oh feu ! je t’accompagne à la mort, je partage ton agonie, je me perds sur tes pâleurs, je pleure sur tes cendres. » La vue des flammes lui évoque la mystérieuse Marine qui, ailleurs et dans un autre temps, « offrait sa peau nue à la chaleur d’un brasier ». Sa bouleversante ressemblance avec la douce Alaine qu’il rencontre rêvant devant un feu l’émeut profondément.
Jacques et Alaine connaîtront la montée d’une passion silencieuse qui les conduira à un sublime éblouissement
lors d’une nuit emplie de bonheur et de douleur.
Ce roman nous entraîne dans une poésie de l’imaginaire et nous invite à contempler les flammes et la lumière.
À commander dès à présent via le site pour recevoir en avant-première, l’ouvrage et son marque-page spécifique (paiement PayPal sécurisé).
DÉDICACE
Jacques Brochard sera présent pour la sortie de son ouvrage,
les 21, 22 et 23 novembre prochains sur l’espace du Vampire Actif, au Salon « L’Autre Livre »,organisé à la Mairie du Vème arrondissement, place du Panthéon
seule la poussière ne retourne pas au néant
Pensées en liberté
Thierry FRESNE
Le quatrième opus de Thierry Fresne à paraître en novembre, est une pure et belle surprise.
Son recueil d’aphorismes, ces pensées qui autorisent et provoquent d’autres pensées et qui frayent un sentier vers de nouvelles perceptions et conceptions, renoue avec une pratique littéraire gourmande. L’ouvrage de Thierry Fresne s’inscrit dans la production de cette figure de style, souvent décapante, qui a été l’objet de publication de « perles » issues des plus grands auteurs tels que Montaigne, La Bruyère, Vauvenargues, Paul Éluard, Friedrich Nietzsche, Emile Cioran, Oscar Wilde et tant d’autres.
RENARDEAU ÉCERVELÉ
Auteur : Georges COUDRAIN
Illustrations : Brigitte COUDRAIN
RENARDEAU ÉCERVELÉ pointe son museau dans la nouvelle collection « Les Audacieux ».
RENARDEAU ÉCERVELÉ est une jolie histoire pour les petits et les grands, d’un petit renard fort distrait
qui s’amuse à imiter les animaux de la forêt, à changer de couleur et d’odeur, et à qui il arrive quelques
mésaventures…
Ce texte, fort délicatement illustré par Brigitte Coudrain, artiste peintre et dessinatrice reconnue, lui a été
écrit par son père.
Une pépite de tendresse et de légèreté, traduite en quatre langues (français, anglais, allemand et latin).
LETTRES À L’AMANT DE MA FEMME
Thierry FRESNE
« Être trompé n’a jamais empêché de rester digne. Il suffit d’élever son dépit aux spéculations d’un moraliste. Toute la valeur du cocu est d’être un homme qui doute : de sa compagne, de lui-même, de l’amour. N’est-il pas alors en bon chemin pour de- venir un philosophe ? »
Thomas, un digne universitaire, soupçonnant l’infidélité de son épouse qu’il aime, décide de correspondre avec son amant dans un geste insolite, apparemment fou mais motivé par le souci de sincérité. Entre réalité et fantasme, il se représente son rival et laisse son imagination le construire comme un personnage voué, par nature, à lui échapper.
Dans ce roman épistolaire singulier, d’une étonnante actualité, le doute, la crispation, l’humour sont les visages des tourments de l’amour.
« Le seul amour qui soit, Monsieur, est d’accepter un être tel qu’il devient. »
Dans la veine des romans épistolaires psychologiques tel Mémoires de deux jeunes mariées d’Honoré de Balzac, Thierry Fresne propose de suivre les réflexions intimes, peu à peu obsessionnelles, d’un mari qui soupçonne sa femme d’avoir une liaison adultère.
Au fil des courriers successifs qu’il adresse à cet amant inconnu « qu’il n’a pas le déshonneur de connaître » et pourtant de plus en plus incarné, nous suivons les états d’âme, les humeurs et les postures de cet homme qui place de ce fait son concurrent comme son seul confident.
Cette démarche singulière est aussi une manière de lui permettre «d’assumer son rôle tout nouveau (?) de mari trompé».
Les Lettres à l’amant de ma femme traitent avec profondeur, humour et rebondissements, d’une situation somme toute courante avec en permanence un respect du libre arbitre des personnages concernés
Photographie de couverture, Rendez-vous – Maude (2021) Mathieu Walter – Christophe Béesau
actualités
Salon l’Autre Livre, à Paris, mairie du Vème, les 21, 22 et 23 novembre 2025
Présence du Vampire Actif au Salon l’Autre Livre, à Paris, mairie du Vème, les 21, 22 et 23 novembre 2025
EN DÉDICACES
Thierry Fresne, Le Journal d’un signet ; Cette nuit qui fut le jour ; Lettres à l’amant de ma femme ; Seule la poussière ne retourne pas au néant.
Jacques Brochard, Nuits de feux.
Présence du Vampire Actif au Salon du Livre de Cébazat (63) les 8 et 9 octobre 2025.
SALON international de l'édition indépendante les 4, 5 et 6 mars au palais de la femme, paris 75011
SALON dans la gueule du livre les 29 et 30 mars, bourse du travail à Saint Etienne
SALON magnifique livre à lyon 14, 15 et 16 mars, chapelle de la trinité
SALON livre à part les 25 et 26 janvier mairie de saint mandée
SALON L'AUTRE LIVRE LES 8, 9 et 10 NOVEMBRE AU PALAIS DE LA FEMME (PARIS 75019)
SALON marque page les 12 et 13 Octobre à cébazat
SALON LE MAGNIFIQUE LIVRE, LYON, 15, 16 et 17 mars Accédez directement au programme du Salon :
https://magnifique-livre.org/wp-content/uploads/2024/02/MAGNIFIQUELIVRE_PROGRAMME_Vfinale.pdf
SALON L’AUTRE LIVRE PARIS 12, 13 et 14 AVRIL 2024 au PALAIS DE LA FEMME PARIS XIXème
Présence de Thierry Fresne en dédicace de ses trois ouvrages Le Journal d’un signet, Cette nuit qui fut le jour et Lettres à l’amant de ma femme.
Rendez-vous au Salon "LE JOUR DU LIVRE", le 4 Mai prochain de 10h à 18h, Espace Pandora, place de la Paix, à Vénissieux
CONTACTS AVEC LES MÉDIAS
Les Éditions du Vampire Actif ont adressé aux professionnels des médias, dûment ciblés (35 titres et supports), un exemplaire des Lettres à l’amant de ma femme, accompagné d’un dossier de presse complet.
Espérons que ces destinataires, tous gens du livre et de la culture, sauront réserver l’accueil qu’il mérite à ce roman épistolaire aussi original que contemporain.
Les éventuels retours seront affichés sur le site.
SALON DU LIVRE ET DU MARQUE-PAGE DE CEBAZAT
SALON L'AUTRE LIVRE à PARIS
Les Éditions du Vampire Actif ont participé à la vingtième édition du Salon L’Autre Livre organisé à l’Espace des Blancs Manteaux, les 10, 11 et 12 novembre 2023.
Un rendez-vous attendu, désormais installé dans l’univers parisien du livre, et qui réunit plus de 120 éditeurs indépendants.
La fréquentation a été un peu moins fournie que celle de la précédente manifestation mais les habitués étaient fidèles au rendez-vous.
Le Vampire Actif a présenté à cette occasion, sa nouvelle publication, le troisième roman de Thierry Fresne, Lettres à l’Amant de ma femme, que l’auteur, venu en signature les après-midis des trois jours, a pu dédicacer à des lecteurs curieux.
JOURNÉE PROFESSIONNELLE d’EIRA à LYON
Cette rencontre a permis de rencontrer des bibliothécaires et de leur présenter des ouvrages sur le thème retenu du « voyage ».
SOIREE LITTERATURE à DOMFRONT
La soirée a réuni plus de 80 personnes, autour des 10 bénévoles et responsables de la médiathèque, organisateurs de l’évènement. Animés par Guillaume, la présentation et les échanges ont été passionnants et passionnés. Thierry Fresne a su intéresser le public par ses nombreuses interventions explicatives de son travail sur ses deux romans, Le journal d’un signet et Cette nuit qui fut le jour. Les lectures des textes choisis de Victor Hugo et de Thierry Fresne ainsi que les pauses musicales de Jean-François, sont venues égayer cette rencontre mémorable.
Salon des éditeurs
Une nouvelle édition d’un salon très sympathique auxquels se rendent des lecteurs avides de découvrir des éditeurs méconnus.
Salon le Magnifique livre
Salon l’Autre Livre
les 26, 27 et 28 novembre, Espace Les Blancs Manteaux, 15 rue des Blancs Manteaux, 75004.
Vendredi 26 novembre : 14 h – 20 h
Dimanche 28 novembre : 11 h – 19 h























